Survol du Cap Hornu
Un coucher de soleil au Cap Hornu, près de Saint-Valery-sur-Somme en Baie de Somme, capturé à l’aide d’un drone. Les perspectives changent et les caractéristiques hydrologiques et géologiques apparaissent ainsi bien mieux grâce à la photo aérienne.
Quend-Plage vu d’en haut
Sortie crépusculaire sur la plage de Quend-Plage afin de faire voler le drone au dessus des bouchots de nos parc à moules. Vu d’en haut, on prend toute la dimension de ces immenses alignements de bouchots entre Quend et le parc du Marquenterre. La mytiliculture est une activité importante en baie de Somme !
Rencontre avec le petit gravelot…
C’est un très joli petit oiseau que le petit gravelot, facilement reconnaissable grâce à son bel œil cerclé de doré… Il nous fait l’honneur de fréquenter notre belle région de la Baie de Somme et de venir nicher dans nos galets au printemps, notamment au hâble d’Ault, comme ici. Son camouflage est fort bien étudié car il est vraiment difficile de le repérer lorsqu’il est tapi sur ses œufs, entre quelques galets à même le sol.
L’iris des marais
L’iris des marais (Iris pseudacorus – iris faux acore ou iris jaune) ajoute de jolies touches de couleur jaune dans nos pâtures humides à cette saison… Outre ses vertus thérapeutiques (contre la cataracte notamment, mais à toute petite dose car il peut aussi se révéler toxique) il fut longtemps utilisé pour le tannage des peau car son rhizome est riche en tanins… Mais l’iris des marais est avant tout une très belle fleur qui mérite que l’on prenne un peu de temps pour l’observer de près.
Crépuscule au Cap Hornu
Le cap Hornu est un des sites de la Baie de Somme que je classe dans les plus sauvages. Les chemins deviennent rapidement difficilement praticables et il y est vraiment impératif de surveiller les horaires des marées si l’on s’aventure à traverser les rieux.
Matin coloré à Saint-Valery en Baie de Somme
Il s’en est fallu de quelque minutes seulement ce matin là pour que je puisse réaliser cette image. J’avais vu le ciel se colorer sur la route, et j’ai juste eu le temps d’arriver sur les quais de Saint-Valery pour enfiler les bottes, sortir le boitier et le trépied, et saisir la fin de l’embrasement du ciel. Merci la chance !