Champignons

Les Champignons de la forêt de Crécy

La saison des champignons s’achève et cette automne 2022 aura été bien particulier. Septembre n’avait pas grand chose à offrir avec la sécheresse qui perdurait, et il a fallu attendre le mois d’octobre pour voir apparaitre les amanites, bolets et autres champis ! Et la chaleur persistante fut propice aux cèpes, je n’en ai jamais tant vu que cette année, avec 3 à 4 pousses distinctes de cèpes d’été et de cèpes de Bordeaux. Par contre, d’autres espèces se sont fait vraiment discrètes, comme le laccaire améthyste si présent l’année dernière. Pour ma part, je n’ai pas vu de girolles ni de trompettes de la mort non plus, et à peine quelques pieds bleus. Je partage ci-dessous les plus beaux spécimens rencontrés, vous les retrouverez dans la photothèque avec leur petit nom cette fois…

Les champignons en forêt de Crécy

Alors qu’arrive l’automne, la quête des champignons commence et les amateurs se prennent au jeu de cette chasse aux trésor. Cette année, j’ai eu la chance de trouver quelques cèpes de Bordeau, un première pour moi. Je vous laisse découvrir cette biodiversité. Et si vous voulez les noms de tous ces champis, vous retrouverez ces images légendées sur mes galeries, en suivant ce lien.

Les champignons en forêt de Crécy

Petit pèlerinage mycologique en forêt de Crécy à la recherche des champignons d’automne. C’est une petite activité que je me garde pour les jours où la lumière est un peu trop tristounette pour le paysage… Il faut arpenter la forêt pour y dénicher quelques beaux spécimen pas abîmés, et ne pas avoir peur de se mettre à 4 pattes, voire à plat ventre pour ramener quelques images… A vrai dire, c’est surtout une bonne façon de découvrir la biodiversité autour de soi et les multiples sortes de plantes et de champignons qui nous entourent…

Les moutons de prés-salés de la Baie de Somme

On les croise un peu partout dans les mollières de la baie de Somme. Les moutons de près-salés (AOP), ou agneaux d’estran, donnent un petit côté authentique à la baie. Elevés pour la qualité de leur chair, ils se nourrissent une grande partie de l’année des plantes halophytes. Chez nous, ils n’ont pas de cloche mais sont gardés par les bergers qui les guident entre les chenaux et les mènent boire régulièrement dans la Somme.

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