Rencontre avec le Bécasseau Violet
Une petite série sur ce bécasseau que je ne connaissais pas et que j’ai croisé dans les rochers à Berck-sur-mer. Tout rondouillard, très familier (on l’approche facilement !) et avec quelques reflets sur les plumes auxquels il doit son nom, j’imagine. Le Bécasseau violet est un migrateur qui nous vient du grand nord pour passer l’hiver sur nos côtes.
Premier affût à la mangeoire
Premier affût à la mangeoire dans le jardin, mais celle-ci n’est pas encore très fréquentée, les grands froids ne sont pas encore là… Juste cette mésange charbonnière qui est venue piquer quelques graines…
Le chat, la souris et les physalis…
C’est l’histoire du petit chat de la famille, qui joue, qui dort, qui mange, qui joue, qui dort, qui mange,… Un coup il torture sa souris préférée, un coup il explore les pots de fleurs, un coup il nous ruine les bouquets secs… Il faut dire que pour un petit chaton, des beaux physalis rouges comme çà à hauteur du museau, çà a de quoi énerver… Au moindre coup de patte çà se met à bouger, une fois détaché çà roule plutôt bien sur le carrelage et les tapis… Et quel plaisir de planter ses petites dent et ses petites griffes dedans ou de les écraser en sautant dessus !
Cygne noir (Black swan)
On le croise de temps sur nos étangs, sans trop bien connaître son histoire… En effet, à l’origine le cygne noir vient de l’Australie et de la Tasmanie, il a également été introduit en Nouvelle-Zélande. Ce n’est qu’aux XIXe et XXe siècles, qu’il a été exporté dans différents pays à titre d’oiseau d’ornement des plans d’eau et certains individus sont aujourd’hui en totale liberté chez nous. Contrairement aux autres cygnes, le cygne noir est étonnamment tolérant à l’égard de ses congénères. Ainsi, en territoire australien, il niche en colonies très denses sur les grands lacs peu profonds qu’il affectionne particulièrement.
Le cygne noir ne se nourrit que de végétaux qu’il mange en nageant en immergeant la tête et le cou pour atteindre les plantes sous la surface.
Avant l’arrivée des européens, le cygne noir était répandu et commun dans toute l’Australie. Les colons le chassant pour sa chair, ses effectifs méridionaux s’effondrèrent. Ce grand oiseau noir était une cible facile, surtout pendant la mue qui lui interdit le vol. Les populations des zones à l’écart continuèrent à prospérer, de même que celles introduites en Nouvelle-Zélande. Grâce à cela, une fois sa protection décidée, le cygne noir a pu rapidement reconstituer ses effectifs et a regagné la plupart du terrain perdu. Aujourd’hui, la population mondiale est estimée entre 300 000 et 500 000 individus. (source :
Carte postale de Berck-sur-mer
Le flobart, les pêcheurs, les mouettes et les phoques… Ca ressemble à une carte postale pour l’office de tourisme de la côte d’opale, non ?